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Als een (onverantwoordelijke) arts u een van deze medicijnen heeft voorgeschreven, neem ze dan niet in.

Voyez avec quelle diligence on s’est dépêché de nous protéger : il y a un an, le New-York Times révélait déjà des rapports confidentiels affichant plus de 500 attaques et 300 troubles cardiaques qui pourraient être évités  chaque mois en retirant l’AVANDIA du marché. Le rapport de la Food and Drug Administration (FDA) concluait aussi que « l’Avandia doit être retiré du marché . Depuis 1999, des dizaines d’études scientifiques indépendantes  ont abouti à la même conclusion. Mais GSK a riposté par des études privées (faites par la firme !) et qui « prouvent » l’innocuité de sa molécule. On a seulement demandé à GSK de fournir de nouvelles études,  pas attendues avant… 2020 ! Le brevet de GSK sur Avandia expirant en 2012, le plus gros du risque commercial serait largement passé.

L’on retrouve ici toujours le même scénario que dans les scandales concernant le NUJOL, le LIPITOR, le LYRICA, le VIOXX, le TAMIFLU, etc. Cette liste a permis de passer en revue les principales techniques des firmes pharmaceutiques, les entreprises  mafieuses les plus rentables au monde, pour vendre coûte que coûte leurs produits dangereux.

17 procédés pour écluser des médicaments dangereux

– 1)  Créer de fausses revues spécialisées

– 2)  Intimider, discréditer les scientifiques critiques

– 3)  Fonder de fausses associations citoyennes ou infiltrer celles qui existent (Doctissimo est un bon exemple)

– 4)  Epuiser les ressources limitées des plaignants par des procès interminables (Procès de Versailles : les plaignantes déboutées pour n’avoir pas pu produire leur ordonnance de DISTILBENE d’il y a 40 ans !)

– 5)  Ne fournir que des données favorables en vue d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché

– 6)  Débaucher et corrompre des médecins pour effectuer des études bidon

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